Dans ce drame d’atmosphère à l’humour fin de Manon Briand, une sismologue québécoise vivant à Tokyo revient dans sa ville natale pour étudier un étrange phénomène : la disparition de la marée le long du Saint-Laurent.

Croyant que cela pourrait être le signe précurseur d’un tremblement de terre, Alice (Pascale Bussières) arrive à Baie-Comeau, au Québec, pour résoudre le mystère.

En plus d’être confrontée à son passé qui refait surface, Alice voit son esprit scientifique ébranlé devant les étranges conditions météorologiques et le comportement inexplicable des résidents (dont Geneviève Bujold dans le rôle de la propriétaire d’un casse-croûte convaincue qu’il s’agit d’un phénomène surnaturel). Si plusieurs des histoires des résidents ne tiennent pas la route, Alice commence à penser qu’il se passe peut-être quelque chose qui échappe à sa compréhension.

Un conte gothique moderne de crime et de rédemption racontant l'histoire d'un officier de police vieillissant (Peter Stormare) vivant dans une petite ville mennonite de l'Ontario qui cache un passé violent jusqu'à ce qu'un meurtre local bouleverse le calme de sa vie nouvellement réformée. Avec Jill Hennessy en vedette.

Un homme mentalement perturbé s'installe dans une maison de transition. Son esprit se replonge peu à peu dans le monde créé par sa maladie, où il revit un moment crucial de son enfance.

Récemment libéré de prison, Marcel tente de reconstruire ses relations avec sa petite amie Julie et son père Albert, tout en étant poursuivi par deux policiers corrompus.

Une invasion de zombies sévit dans les régions rurales du Québec, Bonin (Marc-André Grondin) doit lutter pour sa survie et assiste à la diminution de la population restante. Il découvre un groupe qui se cache dans une maison située sur le trajet d’une horde de zombies envahisseurs. Bonin doit décider de les sauver ou non. En le faisant, il se mettrait non seulement en danger, mais aussi ses compagnons.

« Les affamés » est un dépoussiérage remarquable et créatif du genre zombie. L’atmosphère y est tendue et entrecoupée de moments d’horreur exceptionnels. Ce film a remporté le prix du meilleur long métrage canadien au TIFF en 2017 et raflé dix récompenses aux Jutra Awards (rebaptisés Prix Iris) avec dix victoires, dont celles du meilleur film et du meilleur réalisateur.

« Le drame idiosyncratique et nuancé de Robin Aubert rafraîchit le sous-genre de l’apocalypse zombie. » – John Leydon, Variety

Un professeur d'histoire au tempérament doux recherche son sosie exact après l'avoir aperçu dans un film. Un suspense plein de tension et d’aventure mettant en vedette Jake Gyllenhaal dans une double interprétation.

Piégé dans un laboratoire et coincé dans une boucle temporelle, un couple désorienté repousse des intrus masqués, tout en tentant de préserver une nouvelle source d'énergie qui pourrait sauver l'humanité.

Un agent de sécurité d'un ministère du gouvernement tente de planifier un cambriolage avec l'aide d'anciens détenus, mais le plan peut être compromis par un autre agent de sécurité qui prend son travail très au sérieux.

Lorsqu'un homme sans nom et sans domicile arrive dans une nouvelle ville, il trouve un endroit sans loi dirigé par des seigneurs du crime et regorgeant de voleurs armés, de policiers corrompus, de travailleurs du sexe maltraités et même d'un père Noël pédophile. Ému par le chagrin, la rage et le dégoût de ce chaos urbain, l’itinérant décide de faire régner la justice à sa façon, avec un fusil de chasse de calibre 20.

Ce film culte a commencé comme une fausse bande-annonce dans le film Grindhouse de Quentin Tarantino et Robert Rodriguez. Il inclut plusieurs clins d'œil canadiens et une interprétation mémorable de Rutger Hauer, qui, à un moment, livre un monologue dramatique à un public de nouveau-nés.

Une joyeuse et sanglante satire des films d'exploitation des années 70, Hobo with a Shotgun offre beaucoup de rebondissements, chaos et vigilantisme, « à coup de bombes ».
 

Mathieu (Samian) est peut-être un neurochirurgien brillant et efficace, mais sa vie est loin d’être parfaite. Mathieu doit faire face à des conséquences professionnelles et personnelles lorsque sa dépendance à long terme aux médicaments d’ordonnance est exposée, et que son épouse découvre qu’il a une liaison conjugale. La mort soudaine de son père incite Mathieu à retourner dans la communauté nordique anishinaabe de sa jeunesse et dans la cabane forestière isolée où il se rend pour disperser les cendres de son père. Ce qui commence comme un répit de sa vie chaotique à un endroit qu’il pensait avoir laissé dans le passé, se transforme en querelle beaucoup plus obscure. Hanté par des souvenirs douloureux et traqué par le légendaire Wendigo, Mathieu fait face à des démons à la fois figuratifs et littéraux.       

Rare film autochtone francophone, L’inhumain est le premier film du producteur et auteur anishinaabe Jason Brennan. C’est une parabole passionnante et évocatrice sur les dangers de nourrir le monstre en nous.