Region : QC
The Red Violin (Le violon rouge)
À mesure que la vente aux enchères se déroule, l’histoire du violon est révélée à travers quatre récits interreliés qui couvrent une période de 300 ans. Appartenant tour à tour à des musiciens vivant en Italie, à Vienne, à Londres et à Shanghai, le violon remplit la vie de ses propriétaires d’amour, d’aventure, d’intrigue et de tragédie. Au cœur de l’histoire se trouve le lourd secret de l’instrument qui ne sera révélé qu’à la toute fin du film.
Réalisation
François Girard
François Girard a remporté un prix Grammy pour Secret World Live, le film d’un concert de Peter Gabriel. Thirty-Two Short Films About Glenn Gould a remporté quatre prix Génie, dont celui du meilleur film. The Red Violin a remporté huit prix Génie et un Oscar pour la meilleure musique originale. Parmi ses films récents figurent Boychoir, avec Dustin Hoffman, et Hochelaga terre des âmes, qui a été nominé pour huit prix Écrans canadiens et en a remporté quatre. Sa dernière œuvre, The Song of Names, a été présentée en première au Festival international du film de Toronto de 2019.
Scénaristes
Don McKellar, François Girard
Distribution
Samuel L. Jackson, Jason Flemyng, Colm Feore, Greta Sacchi, Sylvia Chang
Producteur
Niv Fichman
Genre
Drame
Intérêts
Arts et culture, Histoire
Langue originale
Anglais
Incendies
Incendies est le genre de film à regarder plus d’une fois. Avec sa trame narrative complexe et son drame familial qui se déroule sur deux continents aux antipodes, l’adaptation signée Denis Villeneuve de la pièce de théâtre primée de Wajdi Mouawad est remplie de revirements explosifs, terrifiants et émotionnellement intenses.
Gagnant de huit prix Génie et en nomination pour l’Oscar du Meilleur film en langue étrangère.
Réalisation
Denis Villeneuve
Scénariste
Denis Villeneuve
Distribution
Lubna Azabal, Mélissa Désormeaux-Poulin, Maxim Gaudette, Rémy Girard
Producteurs
Luc Déry, Kim McCraw
Genres
Drame, Suspense
Intérêts
Des pistes féminines fortes, Histoires du monde, Histoires PANDC, Rapports familiaux
Langue originale
Français
Tiré d’une histoire vraie, ce film raconte l’expérience d’Isabelle Fortier, qui travaille dans le milieu du sexe. Elle raconte son histoire dans un roman semi-autobiographique, sous le pseudonyme de Nelly Arcan (Mylène MacKay). Considéré comme provocateur, son roman devient un best-seller international. Arcan est exposée de façon inattendue et malgré elle. Elle doit faire face aux demandes croissantes réclamant des examens plus approfondis sur l’authenticité de ses histoires.
Anne Emond explore la vie colorée, et finalement tragique, de l’auteure. Ce récit, multicolore et élégant, est à mi chemin entre fiction et autobiographie. Il révèle ainsi la personne qui se cache derrière l’alter ego littéraire provocateur.
« Mylène MacKay livre une performance impressionnante » – T’Cha Dunlevy, The Montreal Gazette
Réalisation
Anne Émond
Le premier long métrage d’Anne Émond, Nuit #1, a remporté le prix Claude-Jutra récompensant le meilleur premier long métrage canadien au gala des Génie de 2012. Parmi ses autres réalisations figurent les courts métrages La vie commence, Sophie Lavoie et Plus rien ne vouloir, ainsi que les longs métrages Nelly et Les êtres chers, qui a récolté sept nominations aux prix Jutra et a remporté le prix de la meilleure réalisation. Son film le plus récent s’intitule Manuel de la vie sauvage.
Scénaristes
Anne Émond, Nelly Arcan
Distribution
Mylène Mackay, Marie-Claude Guérin, Simon Alain
Producteur
Nicole Robert
Genre
Drame
Intérêts
Arts et culture, Biographie, Femmes cinéastes
Langue originale
Français
Bootlegger
Ce premier long métrage de Caroline Monnet, acclamé par la critique, incite à la réflexion et arrive à point nommé sur un débat actuel qui reçoit rarement l’attention médiatique qu’il mérite.
Réalisation
Caroline Monnet (Algonquin)
Scénaristes
Caroline Monnet (Algonquin), Daniel Watchorn
Distribution
Pascale Bussières, Kawennáhere Devery Jacobs (Mohawk), Joséphine Bacon (Innu), Joshua Odjick (Algonquin/Anishinaabe), Samian (Algonquin)
Producteur
Catherine Chagnon
Genre
Drame
Intérêts
Cinéaste autochtone, Femmes cinéastes, Histoires PANDC, Politiques et justice sociale
Original Languages
Autre langue, Français
Je m’appelle humain
Après avoir passé la majeure partie de sa vie à travailler comme traductrice et transcriptrice de l’Innu, Joséphine Bacon a connu la célébrité sur le tard dans sa seconde carrière de poète primée. Ce portrait émouvant replace sa vie et son œuvre dans un contexte nouveau, offrant un regard profondément personnel sur une grande figure littéraire du Canada.
La première de Je m’appelle humain a eu lieu au Festival de cinéma de la ville de Québec, où il a été acclamé, et il a reçu quatre nominations aux prix Iris, notamment dans la catégorie de meilleur film documentaire.
Réalisation
Kim O'Bomsawin (Abenaki)
Scénaristes
Kim O'Bomsawin (Abenaki), Nathalie Gressin
Distribution
Joséphine Bacon (Innu)
Producteur
Andrée-Anne Frenette
Genre
Documentaire
Intérêts
Arts et culture, Biographie, Cinéaste autochtone, Femmes cinéastes, Histoires PANDC
Original Languages
Autre langue, Français
The High Cost of Living (Le prix à payer)
Dans les jours qui suivent, rongé par la culpabilité, Henry décide de partir à la recherche de sa victime. Sa vie maintenant en lambeaux, Nathalie a besoin d'un ami, et c’est là qu’entre en scène le charmant et compatissant Henry. Petit à petit, Nathalie sort de sa coquille et commence à reconstruire sa vie. À mesure que leur relation improbable se développe, Henry multiplie les efforts pour cacher son identité réelle afin d’éviter que la vérité ne vienne ruiner leur nouvelle amitié.
Une histoire émouvante, drôle et originale qui montre que l'espoir et l'amitié peuvent naître des circonstances les plus inattendues.
Réalisation
Deborah Chow
Les courts métrages de Deborah Chow ont été projetés dans de nombreux festivals et ont été télédiffusés dans le monde entier. The High Cost of Living a remporté le prix du meilleur premier long métrage canadien au Festival international du film de Toronto de 2010. Deborah Chow a réalisé l’adaptation de Flowers in the Attic et de nombreuses séries télévisées, dont Reign, Jessica Jones, Iron Fist, Better Call Saul, The Mandalorian, American Gods et, plus récemment, Obi-Wan Kenobi.
Scénariste
Deborah Chow
Distribution
Zach Braff, Isabelle Blais, Patrick Labbé
Producteurs
Kim Berlin, Susan Schneir
Genre
Drame
Intérêts
Cinéaste asiatique, Des pistes féminines fortes, Femmes cinéastes, Rapports familiaux
Langue originale
Anglais
La femme de l’hôtel
La vérité pourrait bien dépasser la fiction dans ce drame fascinant réalisé par l’une des meilleures réalisatrices du Canada. Gagnant de deux prix Génie et du prix du Meilleur long métrage canadien du Festival international du film de Toronto, ce film intimiste et chargé d’émotions est tout simplement envoutant.
Réalisation
Léa Pool
Léa Pool a obtenu trois nominations aux prix Génie pour la meilleure réalisation. Sa filmographie comprend Emporte Moi, Mouvements du désir, Lost and Delirious, La dernière fugue et le documentaire Pink Ribbons, Inc. Parmi ses films récents figurent le documentaire Double Sentence et les longs métrages La passion d’Augustine et Et au pire, on se mariera.
Scénaristes
Michel Langlois, Léa Pool, Robert Gurick
Distribution
Paule Baillargeon, Serge Dupire, Louise Marleau, Marthe Turgeon, Gilles Renaud
Producteur
Bernadette Payeur
Genre
Drame
Intérêts
Arts et culture, Classiques, Femmes cinéastes
Langue originale
Français
Mariages
La Québécoise Catherine Martin a fait ses débuts comme réalisatrice avec ce film qui raconte l’histoire d’une femme du 19e siècle confrontée à l’austérité de l’époque victorienne. Yvonne (Marie-Ève Bertrand), une jeune femme de 20 ans à l’esprit libre, est en conflit avec sa sœur Hélène (Guylaine Tremblay), une femme prude et stricte qui tente de l’assagir.
Hélène veut envoyer sa sœur au couvent, mais lorsque Yvonne s’éprend du séduisant Charles (David Boutin), Hélène élabore un plan pour les séparer et s’arrange pour que celui-ci épouse sa propre fille adolescente. Refusant de renoncer à sa passion amoureuse, Yvonne s’enfuit dans la forêt à la recherche d’une solution.
Ce drame historique finement ciselé a reçu le prix du Meilleur long métrage de l’Association québécoise des critiques de cinéma en 2001.
Réalisation
Catherine Martin
Scénariste
Catherine Martin
Distribution
Marie-Ève Bertrand, Guylaine Tremblay, Hélène Loiselle
Producteur
Lorraine Dufour
Genres
Drame, Romantique, Science-fiction/Fantastique
Intérêts
Femmes cinéastes, Histoire, Rapports familiaux
Langue originale
Français
Sarah préfère la course
Sarah (Sophie Desmarais) est une jeune coureuse de talent dont la vie change complètement lorsqu’on lui offre de faire partie du club d’athlétisme de l’Université McGill – loin de la vie de banlieue qu’elle mène près de Québec. Mais lorsque sa mère craintive refuse de l’aider financièrement, Sarah se résout à épouser son meilleur ami Antoine (Jean-Sébastien Courchesne) pour essayer d’obtenir les meilleures bourses d’études, et les deux vont s’installer à Montréal.
Si Antoine éprouve des sentiments pour Sarah, il devient vite évident qu’elle n’a de véritable passion que pour la course. Ce premier long métrage plein d’aplomb de Chloé Robichaud est une histoire peu banale de passage à l’âge adulte et un drame touchant et subtil sur l’épanouissement sexuel tardif d’une jeune femme introvertie.
Après avoir été présenté en première dans la section Un certain regard du Festival de Cannes, le film a remporté le Women in Film & Television Artistic Merit Award au Festival international du film de Vancouver.
« Ce qui rend Sarah préfère la course si touchant, c’est que nous ne savons pas vraiment ce qui arrivera à Sarah. Et elle non plus. Mais elle continue simplement à courir. » – Tim Grierson, Paste Magazine
Réalisation
Chloé Robichaud
Scénariste
Chloé Robichaud
Distribution
Sophie Desmarais, Jean‑Sébastien Courchesne
Producteurs
Chloé Robichaud, Fanny-Laure Malo
Genres
Drame, Romantique
Intérêts
Femmes cinéastes, Sports
Langue originale
Français
La passion d’Augustine
Céline Bonnier joue le rôle de Mère Augustine, une religieuse catholique passionnée et résiliente qui enseigne la musique à des enfants de toutes les conditions sociales dans un couvent du Québec rural des années 1960. Lorsque sa nièce rebelle, mais douée pour la musique (Lysandre Ménard) arrive au couvent, Mère Augustine doit faire face à un passé qu’elle essaie d’oublier.
Avec les changements qu’annoncent Vatican II et la Révolution tranquille qui secoue le Québec, le gouvernement provincial menace de fermer le couvent au profit d’une école publique, et Mère Augustine doit faire un examen de conscience pour trouver une solution – ou peut-être une nouvelle vocation. Comme les autres religieuses, Augustine doit affronter les vagues de la modernité, mais pourra-t-elle aller de l’avant, ou périra-t-elle avec la tradition?
Le film a été mis en nomination pour deux prix Écrans canadiens, soit celui de la Meilleure actrice pour Céline Bonnier et celui de la Meilleure musique originale.
Réalisation
Léa Pool
Léa Pool a obtenu trois nominations aux prix Génie pour la meilleure réalisation. Sa filmographie comprend Emporte Moi, Mouvements du désir, Lost and Delirious, La dernière fugue et le documentaire Pink Ribbons, Inc. Parmi ses films récents figurent le documentaire Double Sentence et les longs métrages La passion d’Augustine et Et au pire, on se mariera.
Scénaristes
Léa Pool, Marie Vien
Distribution
Céline Bonnier, Lysandre Ménard
Producteurs
Lyse Lafontaine, François Tremblay
Genre
Drame
Intérêts
Arts et culture, Femmes cinéastes, Histoire
Langue originale
Français